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Petite Pagaille...

11 décembre 2010

MERCI

Merci à celles qui ont pris le temps de me répondre,

Merci à elles. Je tenais à vous dire que je tenais à vous et que vos réactions me sont précieuses.
si Le temps de réponse est long, c'est surtout parce que vous imaginez bien qu'il faut du temps et un certain état d'esprit pour écrire ce genre de texte.

Merci encore.

Portez vous bien.

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11 décembre 2010

Des réponses il n'y en a point...

 

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 « Peut-être est-tu enfin arrivé à ce moment de la vie où il faut avancer sans filet ?
L'âge adulte est une mutation, qui sait en quel papillon se changera la chrysalide ?
Laisse le singe en toi te faire avancer, sortir du confort de l'inaction et de la tergiversation. »

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Des réponses il n'y en a point...

 Ou bien il en a mille…

 Comme ces fameux trois points de suspension dont j’abuse si fréquemment, une fuite mettant en perspective le reste de la phrase, si en parlant je n’achève pas une phrase, je laisse une place à l’infini de l’interprétation. Une porte ouverte à ce que je ne sais pas, une ouverture à ce que vous pourriez imaginer. Mais comment confirmer mon être si je n’achève rien ? Voilà peut être ma pierre d’achoppement, le point qu’il faut que j’apprenne à placer.

Ce que je commence à déceler, c'est qu'il s'agit d'un être audacieux qui agit de manière spontané...

(ne serai-ce pas l'enfant spontané qui sommeil en toi?)

Il garde pour principe

que La vie est difficile et tellement fragile...mais que c'est justement ce qui la rend belle!! Donc que La Vie doit être une aventure audacieuse ou elle n'est rien!

Que la perfection n'est que futilité quand il s'agit de se sentir juste vivant...


Qu'on ne va jamais si loin que lorsqu'on ne sait pas où l'on va...

Je rêve trop, j’agis trop peu, et je n’arrive pas à avancer d’une manière qui me satisfasse entièrement. Il me faut apprendre l’imperfection, apprendre à achever mes actions tout en laissant la part de ce que je ne maîtrise pas.

Je pense que chaque individu à cette petite voix qui crie "je veux me sentir vivant" au fond de lui.

Reste à la laisser s'exprimer ou non...

Mais de quelle manière?
Dans quelles limite... et pourquoi des limites?

En bref comment fonctionne l'accomplissement de soit?

La vie n'est peut être qu'une formation continue... mais vers quoi?

 Longtemps j’ai cru que dans l’âge adulte tout serait organisé par la raison, que le Maître, avec sa rigueur et son cynisme pourrait et suffirait à régir ma vie. Et les jeux enfantins que j’ai toujours méprisés, me reviennent en force et me rappellent mon ignorance dans ce domaine.  Et paf dans la gueule ! Car en réalité, même si la raison et le calcul régissent la majeur partie des actes adultes, les jeux enfantins sont la base de l’intégration et du bien être dans la vie adulte.

Et a-t-on besoin du "QUOI" pour avancer?

 Au final, personne ne peut voir de fin à ce singe. Il me renvoie à une époque précieuse de mon adolescence où mon esprit était partitionné en trois. L’enfant, Le maître et »moi», équilibre précaire entre le rêve, la rigueur et un juste milieu permettant d’avancer sans trop se poser de question. Après de longues années j’ai pu exister entre ces trois être, un nouveau en est sorti. Mais il est apparu en négligeant l’enfant et les envies que je pourrai avoir.

  CE singe, avec lequel je suis en train d’entrer en fusion, est cet être particulier de l’enfant, celui qui détient les clés de mes envies, l’enfant régressé en fœtus qui renaît. La nature qui s’ouvre et qui serpente entre mes orteils est l’environnement actuel tel qu’il le perçoit, et qu’il s’adapte. Mais il ne peut rien faire sans moi, sans mon accord puisqu’il ne peut pas exister si je ne l’accepte pas. Me voilà de nouveau obligé d’effectuer une assimilation de ce que j’avais laissé de coté.

 

 Quelle errance !

Quel soulagement de savoir que l’on avance tout de même.

Beaucoup de question toujours au final... Sont elles vraiment nécessaire?
Moi je choisi de ne pas les ignorer, sachant qu'elle n'attendent pas forcément de réponses, mais le fait qu'elles existe m'aide à évoluer...

 La vie est une longue question sans réponse…

30 novembre 2010

chapitre 2 la puissance du silence.

 

Je l’observe donc.

Il me voit également.

 

Peut être juste faut-t-il l'apprivoiser ce primate...

Pas d’une manière physique l’image n’est pas claire et je ne vois plus le singe. Mais je le perçois. Je sais qu’il est là.

Peut être en essayant de le comprendre?

Il y a eu des « sauts » des moments ou étrangement ce n’était pas mon être raisonné qui tenait la barre. Ce n’était plus la personne capable de se mettre en retrait. Non, j’agissais d’instinct, sans calcul. Lorsque je jetait un œil à ces moment je vis le singe à ma place et moi à la sienne.

 

 Et peu à peu nous fusionnons. Ou pour être plus précis, mon moi se mets en retrait et le singe prend le contrôle le plus simplement du monde de ce corps que j’ai toujours cru à moi.

 

Comment est pourquoi est-il apparu?
De la naissance d'un nouveau besoin? Ou d'un manque?

Ou bien à-t-il toujours été présent, mais il s'était fait plus discret jusqu'à présent...

 

Alors je sais ce qu’il veut, je ne sais pas exactement d’où il vient, mais je sais qu’il ne veut que vivre. Ses seuls désirs se résument à vouloir vivre et accepter le monde comme tel qu’il est.

 

Je le laisse toucher au clavier, écrire.

 

Je l’apprivoise petit à petit.

 

Je tente.

 

 De temps en temps les choses dérapent. Le control échappe à mon corps, je m’entends dire des choses que je n’aurais jamais prononcées sauf dans certaines circonstances. Il parle et n’hésite pas. Le monde est pour lui clair et limpide. Il est ma volonté forte d’avancer, mes désirs simples, et pour lui le sens de la vie n’est pas une question fondamentale.

 

Moi aussi il m'interpelle, j'aurais envie de savoir que veut dire sont regard noir... plonge toi dans ses yeux et essaye de décrypter...

 Il avance sans question. Cela me perturbe, mais cela fait combien de temps que je m’astreins de vivre sans relâcher le contrôle ? Que je m’absente dès que le risque apparaît et n’ose me mettre en avant que de manière discrète ? Voilà où cela me mène, je suis de retour aux grandes questions de l’adolescence, symbolisé sous forme de singe. Et avec mon expérience la plus sincère, mes connaissances, plutôt maigre, je sais aujourd’hui quelle est la route à prendre. Et surtout je sais très bien qu’il ne m’appartient pas de savoir si cette route est la bonne. Peu importe, il faut que je la prenne, il faut que j’avance.

 

Lorsque l’on conduit, c’est l’hésitation qui tue.

Lorsque l’on vie, c’est l’hésitation qui amène aux regrets et à l’errance.

 

 

Mais vais-je devenir un singe ?



 

Voilà que j’hésite de nouveau, peut être ce singe ne devait pas être montré. Il est possible aussi que cela déstabilise mon équilibre. Que la question ne devait pas être posée et surtout pas dévoilée. Seulement il me faut l’avoir ce singe.

 

Je dormirai ce soir dans la clairière, et pour le plaisir des belles phrases je lui tournerai quelques questions sous forme de poèmes.

 

Que le jour se lève et que l’aurore nous embrase !

24 novembre 2010

"intéressant... chapitre 1

[ Est-ce un singe?


Quand bien même s'il s'agit d'un singe, tu fait l'observation toi même que lentement, très lentement tout évolue, que ça soit l'herbe ou les cellule de l'être...

Alors il lui restera toujours la capacité et la volonté d'évoluer comme LUI le souhaite...]

Est-ce un singe, est ce un rêve ?

 

 Il se balance toujours quelque part dans ma tête, alors que je suis bien réveillé. Une image mouvante dans mon cerveau. Une image en un bloc qui occupe une part physique de mes pensées.

 

 Lorsque je me lève il se balance, deux pieds sur une branche. Un regard aux yeux noirs. Son évolution indécise m’interpelle, et il me semble bien que ces yeux savent où il va. Mais son corps ne veut pas choisir.

 Lorsque je me couche la prairie reprend des couleurs et je l’oublie un peu. Le singe se trimballe toujours dans mon dos, comme une idée obsessionnelle.

 

 L’herbe pousse toujours lentement, et je la sens glisser entre mes orteils. Pourquoi suis-je pied nu ?

 L’herbe résonne et semble parler.

 

Hélas je ne connais pas ce langage.

 

 Je n’y comprends rien.

 

 Cela me désole.

 

………………………………………………………………………………………………….

 

J’en ai parlé, un peu, à une amie.

 

« La prochaine fois que tu le croise dans un rêve t'en profite pour aller discuter avec lui au lieu de l'observer passivement de loin...

Pour avoir l'occasion de t'informer sur la manière dont il agi dans sa vie... »

 

 Je ne savais trop quoi répondre…

 

En quoi le fait de savoir où il va m’avancera ?

Admettons que cela serve, après tout pour quoi pas. Posons l’initiative plutôt que de subir le destin uniquement.

 

 Mais sais t’on seulement quelle question poser ? La moisson des questions potentielle est si grande que l’on ne voit pas par laquelle commencer.

 

 En quel langage, à quelle partie de son corps ? Qu’est il ? Plutot que de l’apostropher simplement, je vais avant tout l’observer, le scruter et tenter pourquoi, lorsque mes yeux le rencontre je ressens un tel mélange d’émotion. Entre l’attirance et la répulsion, l’amour et la haine, le plaisir de la luxure et la honte de ce plaisir qui paradoxalement rend le plaisir si intense.

16 novembre 2010

Un squelette nu et vide. Dans une prairie verte

Un squelette nu et vide. Dans une prairie verte bordée par des arbres caduques. 

Le vent souffle entre ses cotes, et il siffle.

l'herbe pousse lentement;

très lentement.

De fins faisceaux rouges  rampent le long de ses os. De fin faisceaux qui se muent peu à peu en vaisseaux.

La chair pousse. Lentement;
très lentement.

Le temps n'est pas en une seule direction, il serpente entre nos souvenirs.

Peu à peu le squelette porte des chairs, tendons et matière grasse jaune, muscle rouge...

Il ne s'agit plus d'un squelette à présent, mais je distingue toujours ses os alors même qu'il commence à se mouvoir sur les branches des arbres. Il se balance comme un singe.

Mais est ce un singe? Je ne perçois que des mouvements et des apparences...

Quel rêve étrange.

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25 octobre 2010

je tiens encore !!

lapinTURE

22 octobre 2010

pb de pc

navré pour l'instant je galère un brin,j 'ai acheté de la RAM mais mon ordi ne la reconnait pas... suite au prochain épisode.

Et oui nono, je vais essayer de tenir^^

22 octobre 2010

IMG

19 octobre 2010

Navré pour cette si longue absence, toi lecteur

Navré pour cette si longue absence, toi lecteur émérite qui passe me voir ah tiens non, au fait il y en as eu 2 ces derniers temps.

Je reviens pour une note un peu longue. Et je vais tenter de m'astreindre à publier une page tout les 2 jours. 1 soir pour dessiner, 1 soir pour bricoler sur l'ordi.

J'irai beaucoup plus vite lorsque j'aurais boosté mon Pc pour qu'il puisse accepter ma tablette graphique !

19 octobre 2010

Hé non, le lapin n'est pas mortSuite au prochain

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